22 novembre 2009
Plummage Instrumental
Et puis, inéluctablement, on revient à Stéphane Mallarmé.
S’il est
vrai que toutes les routes mènent à Rome, alors, il est impossible
que l'on ne parle pas de la poésie de Mallarmé si l'on souffre du frisson
des symboles.
Personnellement, je souffre terriblement de la maladie inguérissable des métaphores, des symboles qui, tout en titubant sous le poids des mots, s’effondrent dans l’abîme de notre conscience.
C’est là que l'on retrouve Mallarmé, et non pas à la fin des routes labyrinthiques qui nous y mènent à apprécier sa construction poétique, mais au devant des toutes les possibilités que sa poésie nous ouvre.
Voilà une poésie toutes en symboles : « Sainte » et un de ses verses :
« Sur le plumage instrumental ».
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